Tori: Dohba Yoshihisa Uke: Nishimoto Nimoru Tori: Dohba Yoshihisa Uke: Nishimoto Nimoru Portail arts martiaux et sports de combat
2.
Tsukuyomi angered Amaterasu when he killed Uke Mochi, the goddess of food. Cependant, il mit cette dernière en colère quand il tua Uke Mochi, la déesse de la nourriture.
3.
The tori waza is a technical match where opponents take alternatively the role of uke and tori. Le tori waza est un match technique où les opposants tiennent alternativement le rôle d'uke et de tori.
4.
In his relationships with both Mokkun and Chico, he is the uke, though in the latter relationship this is somewhat reversible. Dans une relation avec Mokkun et Chico, il est le uke, bien que ce soit réversible par la suite.
5.
In judo and some other martial arts, tori is the person who completes the technique against the training partner, called uke. Dans la pratique de certains arts martiaux, on appelle Tori celui qui exécute la technique et Uke celui qui la subit.
6.
Techniques are performed by a pair of students called uke (受け, the partner on whom the technique is performed) and shite (仕手, the partner who performs the technique). Ces techniques sont à effectuer avec un partenaire : Tori, celui qui saisit, et Uke celui qui « reçoit » l'action de son partenaire.
7.
Masamichi Noro reclaims as his own the vision of his master, Morihei Ueshiba, who used his techniques to perfect the proper circulation of the ki within himself and toward his partner, or uke in Japanese. Maître Masamichi Noro reprend à son compte la vision de son maître, Morihei Ueshiba, qui utilisait ses techniques pour parfaire la juste circulation du ki en lui-même et vers son partenaire (en japonais uke 受け) - voir les articles dans la bibliographie.
8.
The system as it existed in Tokugawa times is sometimes called terauke system (寺請制度, terauke seido) because of the certification (or terauke, because the tera, or temple would issue an uke, or certificate) issued by a Buddhist temple that a citizen was not a Christian. Le système tel qu'il existe au temps des Tokugawa est parfois appelé système terauke (寺请制度, terauke seido?) du fait de la certification (ou terauke, parce que le tera, ou temple délivre un uke, c'est-à-dire un certificat) attestant qu'un individu n'est pas Chrétien.
