| 1. | In 1649, Alexander Morus, the successor of Spanheim, but suspected of belonging to the liberal party, was compelled by the magistrates of Geneva to subscribe to a series of articles in the form of theses and antitheses, the first germ of the Formula consensus. En 1649, Alexandre Morus, le successeur de Spanheim, soupçonné de sympathies libérales, fut contraint par les magistrats de Genève de souscrire à une série d'articles sous forme de thèses et d'antithèses, la première version de la « formule de consensus helvétique ». |